Les restaurateurs et le deuxième confinement :
À peine sortis du premier confinement avec plusieurs séquelles, les restaurateurs étaient dans l’obligation d’affronter un deuxième confinement vient rajouter une couche à leurs difficultés. Bien que le second confinement fût un mal nécessaire, les professionnels du domaine se sont retrouvés condamnés à réduire leurs activités.
En effet, le deuxième confinement a engendré des pertes colossales dans le secteur. Par conséquent, les restaurateurs qui espéraient compenser le manque à gagner en ouvrant pour les fêtes de fin d’année doivent encore patienter un peu avant d’espérer reprendre une activité normale.
Il parait que le gouvernement français prolongera le blocus pour les professionnels au-delà du 17 janvier 2012 selon un article paru dans le « point ». Un autre bras de fers s’annonce virulent dans le même contexte entre les restaurateurs et les assurances.
Ces derniers ne veulent pas porter le chapeau de toutes les répercussions de la crise sanitaire, le premier et le deuxième confinement, en l’occurrence. Une querelle sur les motifs des indemnisations et sur la valeur des aides seront les thèmes de cette discorde. En effet, les assurances ne veulent pas porter les pertes causées par la pandémie toutes seules.
Mettre la clé sous la porte pour plusieurs restaurateurs n’est plus un choix mais une fatalité. Rien ne va plus ainsi, pour tous les protagonistes qui suffoquent à cause du deuxième confinement. Même la lueur d’espoir scientifique, n’est pas pour demain.
Décidément, ce dilemme cornélien inquiète même le gouvernement qui peine à trouver des solutions radicales à cette crise.
Une nouvelle approche du Business pour les restaurateurs :
L’incroyable chronologie des faits a indiqué qu’aucun secteur n’est épargné. On découvre une fragilité dans des domaines que nous croyons intouchables. L’après pandémie, nous enseigneras qu’il n’y a pas d’investissements sûrs à 100 %.
Dans un contexte de deuxième confinement, les nouveaux projets de demain doivent prendre en considération l’éventualité de crises similaires dans le futur. Le mot d’ordre est Patience !